La vision sociopolitique de Paul Elvere DELSART – Vers une gouvernance planétaire participative.pdf
Nom original: La vision sociopolitique de Paul Elvere DELSART – Vers une gouvernance planétaire participative.pdf
Titre: La vision politique de Paul Elvere DELSART et ses impacts sur les nations
Auteur: Paul Elvere DELSART
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La vision sociopolitique de Paul Elvere DELSART – Vers une gouvernance planétaire participative
Chapitre I – Le chantier du monde nouveau
Dans un monde en proie aux incertitudes, un homme s’élève pour esquisser une alternative radicale : Paul Elvere
DELSART. Visionnaire inclassable, il ne se contente pas de critiquer les structures existantes ; il rêve et bâtit, à la
manière des anciens architectes de civilisations. Sa pensée politique n’est pas une réforme, c’est une refondation —
totale, transnationale, transformationnelle.
Son projet : métamorphoser notre modèle de société, non par la force ou la conquête, mais par l’imaginaire, la
participation et la science du vivant. Il nomme cela une utopie réalisable, enracinée dans les consciences autant que
dans les sols fertiles des territoires oubliés.
Paul Elvere DELSART rejette les grandes institutions internationales actuelles, qu’il juge centralisées, opaques et
soumises aux logiques du marché. À leur place, il imagine une gouvernance planétaire participative, née de la volonté
des peuples eux-mêmes. Non pas une hégémonie, mais un contrat social mondial, écrit à mille mains, dans mille
langues. Un monde de blocs géosociétaux — l’Union Sociétale Méditerranéenne, Européenne, Africaine — autonomes,
décentralisés, mais interconnectés par une même conscience collective.
Contre le productivisme ravageur, Paul Elvere DELSART propose un modèle écosociétal fondé sur la durabilité, la
justice et l’autosuffisance. Il rêve de territoires florissants, revitalisés par des projets concrets : les cités touristiques
végétales de “LE PAPILLON SOURCE”, ou les dynamiques intermunicipales de “Les Communes Contre-Attaquent”. Il
évoque les Calderas Végétales, installations géo-ingénieuses où agriculture, écologie et esthétique fusionnent. Ici, la
terre guérit, l’humain retrouve sa place.
Dans sa vision, la paix ne se négocie pas dans les salles de conférences militaires, mais dans les amphithéâtres, les
laboratoires, les ateliers d’art. Paul Elvere DELSART invente la diplomatie sociétale : les nations s’y rencontrent par le
savoir, la culture, l’innovation sociale. Les échanges intellectuels deviennent des ponts entre les peuples, les
bibliothèques remplacent les bases militaires.
Le cœur du projet est une Renaissance. Mais pas celle des élites : une renaissance populaire, planétaire, décloisonnée.
Elle conjugue la science et la spiritualité, l’intelligence et la sagesse. L’éducation n’y est plus une norme, mais une
quête d’éveil. Paul Elvere DELSART appelle à l’avènement d’une science spirituelle, inclusive, consciente des
interdépendances du monde vivant.
À ceux qui prédisent un “choc des civilisations”, Paul Elvere DELSART oppose la co-construction des civilisations. Son
programme EL4DEV est une réponse pacifique, structurée, inclusive. Il tisse des projets transfrontaliers qui dépassent
les clivages religieux, économiques ou identitaires, pour fédérer autour d’un but commun : bâtir une société planétaire
résiliente.
Enfin, Paul Elvere DELSART ne sépare pas le réel de l’imaginaire : il les entremêle. Par la fiction sociale et les univers
transmédias, il mobilise les consciences. Il invente l’Empire Vert d’Orient et d’Occident, une fresque politique-fictionnelle
où se projette un monde alternatif en devenir. Ce récit devient outil, levier, boussole. Car pour lui, le futur s’écrit d’abord
dans l’imaginaire collectif.
Loin d’être un simple rêveur, Paul Elvere DELSART incarne un projet politique de notre temps : systémique, participatif,
éthique. Sa méthode est précise, scénarisée, portée par une foi inébranlable en l’intelligence collective et la beauté du
monde vivant. Son utopie n’est pas une échappée, mais un appel : à réinventer la société mondiale par la coopération,
l’autonomie locale et l’écologie intégrale.
Chapitre 2 – Le Jour où un pays osa expérimenter
Imaginons. Un pays, quelque part entre les tropiques et les lignes de faille géopolitiques, décide d’emprunter la voie
proposée par Paul Elvere DELSART. Non pas à moitié, non pas symboliquement, mais résolument. Il ne s’agit pas ici
d’un simple ajustement de politique publique, mais d’un véritable changement de civilisation. Les fondations de l’État
sont secouées pour bâtir une société nouvelle. Que se passerait-il alors ?
Les impacts seraient vastes. Multidimensionnels. Profonds.
Le premier bouleversement serait celui du lien entre l’individu et la collectivité. La participation citoyenne, longtemps
cantonnée aux urnes ou aux pétitions, deviendrait quotidienne. Dans chaque commune, des projets collaboratifs
verraient le jour, des forums populaires réinventeraient la parole publique. Les petites municipalités, souvent reléguées
à la marge, se retrouveraient au centre du jeu.
Une nouvelle identité nationale émergerait, tissée de solidarité plutôt que de compétition. Le citoyen ne serait plus
consommateur ou contribuable, mais co-auteur du territoire.
Mais cette mutation ne se ferait pas sans friction. Les vieilles structures résisteraient. Élites politiques, bureaucraties
centrales, institutions figées : tous pourraient freiner, contourner, saboter. Les cadres juridiques eux-mêmes, pensés
pour stabiliser un ordre ancien, devraient être réinventés à la racine.
Dans les campagnes comme dans les villes, la nature reprendrait ses droits — non par abandon, mais par soin. Les
Calderas Végétales, ces infrastructures hybrides mêlant écologie, agriculture et esthétique, restaureraient les
écosystèmes abîmés. L’agriculture régénérative remplacerait l’agriculture intensive ; les énergies renouvelables, locales
et décentralisées, réduiraient la dépendance énergétique.
Les circuits courts refaçonneraient les chaînes d’approvisionnement, et l’urbanisme se ferait vert, résilient, respirant.
Mais là encore, tout n’irait pas de soi. Les technologies nécessaires, encore balbutiantes à grande échelle, poseraient
des défis d’adaptation. Et le pays, tourné vers une économie écologique lente, pourrait se heurter à l’impatience des
marchés mondiaux.
L’économie changerait de nature. Adieu croissance illimitée, bienvenue à une économie circulaire et coopérative,
centrée sur le bien commun. L’emploi se redéfinirait : on recruterait dans l’éducation, l’environnement, l’innovation
sociale. Le tourisme lui-même deviendrait durable, enraciné dans les territoires.
Cependant, ce nouveau paradigme inquiéterait les investisseurs traditionnels. Les agences de notation baisseraient leur
note. Le FMI, la BCE et autres grands bailleurs verraient d’un mauvais œil cette divergence. La transition, surtout dans
sa phase initiale, pourrait être coûteuse. Il faudrait du courage politique, mais aussi de nouvelles alliances.
Sur la scène internationale, ce pays pourrait devenir un phare moral et écologique. Il susciterait l’intérêt des peuples,
inspirerait d’autres leaders, créerait un effet domino. Il tendrait la main à ceux qui rêvent d’un ordre mondial plus juste.
Mais il deviendrait aussi cible. Un pays qui renonce aux dogmes dominants dérange. Des sanctions pourraient tomber,
des partenariats se rompre. Des opérations plus subtiles — de déstabilisation, d’influence ou de discrédit — ne seraient
pas à exclure. Il lui faudrait, plus que jamais, une diplomatie intelligente, des alliances solides et une grande résilience
interne.
La réforme éducative serait peut-être la plus structurante. Fin des programmes standardisés, fin des hiérarchies figées
entre savoirs théoriques et pratiques. L’école deviendrait un lieu d’éveil, de coopération, de créativité éthique et
écologique. On valoriserait les savoirs locaux, les récits territoriaux, les langues oubliées.
Mais les enseignants, les universités, les ministères résisteraient à l’inconnu. Il faudrait une transformation profonde des
mentalités, accompagnée d’une formation massive et d’un accompagnement sur plusieurs générations.
Ce pays, en choisissant la voie de Paul Elvere DELSART, ne se contenterait pas d’expérimenter. Il incarnerait une
rupture historique. Une alternative tangible à la mondialisation néolibérale. Il gagnerait en autonomie, en justice sociale,
en cohésion territoriale. Il réduirait ses inégalités et soignerait sa relation au vivant.
Mais il affronterait aussi des turbulences immenses : pressions extérieures, résistances internes, défis économiques.
Son succès dépendrait de trois clés : la profondeur de son engagement, sa capacité d’adaptation, et sa force de
coopération internationale.
Si ce pays tient bon, il ne serait pas seulement un laboratoire politique. Il serait le premier chapitre d’un monde qui se
réinvente.
Chapitre 3 – Le Maroc, porte du changement
Et si le Maroc, carrefour millénaire entre l’Afrique, l’Europe et le monde arabe, décidait d’embrasser pleinement la voie
proposée par Paul Elvere DELSART et son programme EL4DEV ? Dans un monde en quête de sens, le Royaume
chérifien pourrait devenir le premier pays à expérimenter à grande échelle ce modèle utopique, systémique et
transformationnel. Un pari audacieux, certes — mais porteur de potentialités inédites.
Que signifierait concrètement ce choix pour le Maroc, dans ses structures, ses territoires, son peuple ?
La première grande réforme frapperait au cœur de l’architecture de l’État : la gouvernance. Le centralisme historique,
hérité à la fois de traditions monarchiques et de logiques coloniales, laisserait place à une nouvelle dynamique
participative.
Les petites municipalités rurales, longtemps négligées ou dépendantes de Rabat, deviendraient des nœuds
d’innovation territoriale. Elles seraient intégrées dans un Groupement national d’intérêt économique sociétal, un
mécanisme hybride de co-développement associant citoyens, élus locaux, entrepreneurs et chercheurs.
Le pouvoir ne descendrait plus d’en haut : il circulerait, horizontalement, dans une logique d’intelligence collective. Les
assemblées citoyennes, les laboratoires locaux d’idées, les coopératives intercommunales composeraient le nouveau
paysage politique.
Le Maroc pourrait, à travers ce modèle, devenir une référence africaine de gouvernance décentralisée, articulant
tradition, participation et résilience.
Mais un tel basculement ne manquerait pas de heurter les structures établies. Le Makhzen, les ministères, les corps
préfectoraux — tous pourraient percevoir cette décentralisation comme une remise en cause de leur autorité. Des
tensions seraient inévitables. Le succès reposerait sur une médiation politique habile et une volonté claire du sommet
de l’État.
Du Haouz aux confins sahariens, un autre Maroc émergerait. Là où la désertification menace, des Calderas Végétales
prendraient racine. Ces écosystèmes artificiels mais vivants, mêlant géo-ingénierie douce, agriculture régénérative et
architecture végétale, reverdiraient les terres arides.
L’agriculture traditionnelle, souvent soumise aux aléas du climat et aux pressions du marché global, céderait le pas à
une production locale, durable, nourricière et autonome.
Le Royaume deviendrait un pionnier continental de la régénération écologique, capable d’exporter son savoir-faire en
géo-ingénierie verte, tout en développant un agrotourisme expérimental fondé sur la beauté, la pédagogie et la
spiritualité.
Mais ce virage écologique risquerait de rencontrer l’hostilité des grandes exploitations agro-industrielles, des
entreprises liées aux importations alimentaires, ou de certains partenaires commerciaux. L’intérêt général devrait alors
triompher sur les intérêts privés.
Au cœur de cette transformation, un mot clé : transmission. L’éducation serait repensée comme levier de transformation
sociale. Les infrastructures “LE PAPILLON SOURCE”, à mi-chemin entre campus, oasis éducative et lieu de vie,
accueilleraient des jeunes ruraux, chercheurs, inventeurs, artistes — marocains comme internationaux.
On y apprendrait non pas à reproduire, mais à réinventer : l’ingénierie systémique, l’écospiritualité, la coopération, les
langues anciennes et les arts vernaculaires.
Une nouvelle forme de soft power marocain naîtrait, fondée sur la durabilité, la beauté et l’interconnexion humaine. Les
savoirs ancestraux berbères, arabes, andalous seraient revisités à la lumière des enjeux contemporains.
Le défi, cependant, serait colossal : réformer un système éducatif souvent rigide, hiérarchisé, inadapté aux réalités
rurales. Il faudrait former des enseignants, réécrire les curricula, changer la finalité même de l’école.
Sur le plan économique, la bascule serait tout aussi radicale. Le tourisme de masse, concentré sur les villes impériales
et les côtes, céderait la place à un tourisme éducatif, scientifique, spirituel. On viendrait au Maroc non pour consommer,
mais pour apprendre, méditer, créer.
Les municipalités rurales deviendraient autonomes financièrement, en générant leurs propres ressources via
l’écoconstruction, la permaculture, l’artisanat technologique.
Des milliers d’emplois seraient créés, mais dans un cadre coopératif, où la richesse est partagée.
Les obstacles, cependant, seraient de taille. Les investissements initiaux, pour bâtir les infrastructures, former les
personnes, assurer la transition énergétique, seraient lourds. Et les bailleurs internationaux traditionnels (Banque
Mondiale, FMI…) pourraient se montrer frileux face à un modèle qu’ils ne contrôlent pas.
Enfin, sur le plan géopolitique, le Maroc pourrait incarner un rôle inédit : celui de passeur entre continents, de leader
moral au sein d’une Union Sociétale Méditerranéenne.
Avec des partenaires comme la Tunisie, le Portugal ou l’Espagne du sud, il serait le moteur d’un altermondialisme
méditerranéen, fondé sur la paix, la coopération culturelle, la diplomatie citoyenne.
Il ne s’agirait plus d’être aligné sur des blocs de pouvoir, mais de créer une voie médiane : ni néolibérale, ni autoritaire,
mais humaniste, écologique, enracinée et ouverte.
Ce repositionnement pourrait toutefois susciter des résistances. En contestant certains accords économiques
classiques ou certaines alliances stratégiques, le pays s’exposerait à des pressions diplomatiques et économiques.
Si le Maroc embrassait la vision de Paul Elvere DELSART, il ne serait pas seulement un pays en transition. Il
deviendrait un prototype civilisationnel, une tête de pont d’un nouveau monde.
Mais ce changement demanderait trois choses :
1. Une volonté politique forte et courageuse.
2. Une mobilisation des forces locales : jeunes, municipalités, chercheurs, entrepreneurs sociaux.
3. Un changement de regard chez les élites, qui doivent passer du contrôle à la facilitation, de la domination à la
coopération.
La route serait semée d’obstacles, mais riche d’espoir. Car celui qui ose réinventer la société ne fait pas que tracer un
chemin : il ouvre une ère.
Chapitre 4 – Le Cameroun à la croisée des mondes
Le Cameroun, pays aux mille visages, mosaïque ethnique et géographique au cœur de l’Afrique centrale, pourrait
devenir la matrice d’une révolution douce. Et si, par un basculement politique inattendu, ce pays décidait de suivre la
voie proposée par Paul Elvere DELSART, son fils spirituel, en adoptant pleinement les principes du programme
EL4DEV ? Le résultat serait une refondation civilisationnelle, profonde, portée par les municipalités, la jeunesse et la
terre elle-même.
Cette simulation, loin d’être un simple exercice intellectuel, dresse les contours d’une transformation systémique et
d’une renaissance identitaire d’envergure.
Le Cameroun d’aujourd’hui est caractérisé par une gouvernance verticale, centralisée autour de Yaoundé.
L’administration, les ressources et les décisions sont concentrées, laissant peu d’autonomie aux collectivités locales.
Dans un Cameroun du programme EL4DEV, ce modèle serait inversé. Les municipalités rurales, notamment celles du
Centre, de l’Est et du Grand Nord, deviendraient les nœuds d’une gouvernance participative. Grâce à la création d’un
Groupement National d’Intérêt Économique Sociétal, elles pourraient mutualiser leurs ressources, cogérer les projets
publics et prendre en main leur propre destin économique.
Ce modèle transformerait la commune d’une entité dépendante à un acteur stratégique. Le pouvoir circulerait à
nouveau dans les territoires, libérant l’intelligence locale, les dynamiques endogènes, et les solidarités ancestrales.
Mais cette réforme ferait inévitablement face à des résistances : celles de l’administration centrale, des gouverneurs
régionaux, voire du pouvoir présidentiel, peu enclin à céder du contrôle.
Dans les régions arides de l’Extrême-Nord et de l’Adamaoua, ou dans les forêts surexploitées du Sud-Est, les Calderas
Végétales seraient implantées comme des îlots d’écosystèmes régénératifs. Ces installations, mêlant nature et
technologie douce, deviendraient les symboles d’une nouvelle relation à la terre.
La monoculture, les intrants chimiques, la dépendance à l’agro-industrie importée seraient remplacés par une
polyculture résiliente, biologique, nourrie de savoirs agricoles ancestraux.
Les infrastructures “LE PAPILLON SOURCE”, quant à elles, serviraient à la fois de fermes, de centres éducatifs et de
pôles touristiques. Elles produiraient un excédent alimentaire redistribué gratuitement, tout en attirant des visiteurs
venus étudier et expérimenter ce nouveau modèle de vie.
Ce virage écologique permettrait au Cameroun de conquérir son autonomie alimentaire, de stopper l’exode rural, et de
redonner une dignité vivante aux campagnes.
Mais ici encore, des conflits émergeraient : accès aux terres, opposition des grands exploitants, voire perturbation des
réseaux d’importation et d’aide alimentaire.
Le programme EL4DEV pour le Cameroun ne se contenterait pas de réformer l’économie ou l’écologie : il réinventerait
la manière d’apprendre et de transmettre.
De nouvelles cités éducatives rurales accueilleraient des jeunes leaders, des inventeurs de la diaspora, des chercheurs
africains autour de valeurs de coopération, de spiritualité et d’innovation locale. On y étudierait les langues
camerounaises, les mythes fondateurs, les technologies naturelles, les arts vernaculaires.
Une renaissance culturelle panafricaine émergerait du territoire, portée par la richesse plurielle du pays : Fang,
Bamiléké, Peul, Ewondo, Bassa… Chacune de ces cultures y serait non pas folklorisée, mais érigée en socle d’unité
vivante et dynamique.
Mais ce rêve ne se réaliserait pas sans affronter les carcans du système éducatif actuel, souvent hérité de la France,
rigide, centralisé et peu adapté aux réalités rurales ou aux aspirations modernes.
Les municipalités, devenues puissances économiques locales, investiraient dans des projets structurants : agriculture
durable, écotourisme, éducation alternative, construction écologique.
Elles seraient co-propriétaires des infrastructures, parties prenantes des retombées économiques, et non plus simples
réceptrices de fonds conditionnés.
Le Sud forestier, les volcans de l’Ouest, les savanes du Nord deviendraient des destinations de tourisme scientifique,
éducatif, et spirituel. Des visiteurs du monde entier viendraient vivre une expérience immersive dans un Cameroun
réinventé.
Ce système stimulerait l’économie informelle tout en l’organisant autour de mécanismes de redistribution équitable. Des
micro-entrepreneurs ruraux, des femmes, des jeunes, y trouveraient un cadre sécurisant pour entreprendre et créer.
Cependant, les premiers financements seraient difficiles à mobiliser. Les réseaux de corruption, l’instabilité
administrative et les lenteurs bureaucratiques pourraient freiner la mise en œuvre.
En tant que terre natale de Paul Elvere DELSART, le Cameroun aurait une légitimité unique pour devenir le berceau
d’une nouvelle vision panafricaine. Le pays pourrait incarner, à travers le programme EL4DEV, une philosophie
politique post-occidentale, axée sur l’écologie, l’intellect, la coopération culturelle.
Il jouerait un rôle central dans la fondation d’une Union Sociétale Africaine, aux côtés de pays moteurs comme
l’Éthiopie, le Maroc, le Sénégal ou le Ghana.
Cette diplomatie non-alignée, mais ambitieuse, permettrait au Cameroun de rompre avec les modèles extractivistes ou
militarisés imposés par certaines puissances étrangères (France, Chine, Russie…). Elle poserait les bases d’un nouvel
humanisme africain.
Mais une telle posture pourrait provoquer des frictions géopolitiques. Les anciens partenaires économiques, peu enclins
à perdre leurs privilèges, pourraient user de pressions politiques, financières, voire médiatiques.
Si le Cameroun osait cette transformation — s’il adoptait réellement le programme EL4DEV comme matrice nationale
— il pourrait :
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Rompre avec un modèle hérité de la colonisation, basé sur l’assistance et la dépendance.
Revitaliser ses campagnes, réduire la pauvreté et l’exode rural.
Rayonner comme phare d’un panafricanisme coopératif, écologiste, spirituel et créatif.
Mais cette mutation ne viendrait pas d’en haut. Elle supposerait :
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Un engagement sincère des élites politiques, acceptant de partager le pouvoir avec les territoires.
Une mobilisation des jeunes générations, prêtes à revenir, à créer, à rêver ici plutôt qu’ailleurs.
Et surtout, une résilience collective, capable de surmonter les blocages structurels, les inerties mentales et les
menaces extérieures.
Car tout pays qui choisit d’inventer une nouvelle civilisation doit d’abord oser croire en lui-même.
Chapitre 5 – L’Espagne : L’avant-garde d’une Renaissance Euro-Méditerranéenne
Parmi les nombreux territoires évoqués dans le programme EL4DEV, l’Espagne occupe une place singulière. Non pas
seulement comme une candidate potentielle, mais comme terre pilote, point d’ancrage initial d’une expérimentation
civilisationnelle inédite. C’est dans la commune de Torreblanca, située dans la province de Castellón, que les premières
briques de cette vision ont été imaginées.
Et si l’Espagne décidait de faire de cette initiative locale un projet national ? Si elle embrassait pleinement la voie
politique, éthique et écologique portée par Paul Elvere DELSART ? Une telle décision redéfinirait non seulement son
avenir, mais peut-être celui de toute la région euro-méditerranéenne.
L’Espagne a depuis longtemps initié un processus de décentralisation à travers ses Communautés autonomes,
chacune dotée de larges compétences. Mais dans le modèle EL4DEV, ce processus serait approfondi et recentré : la
municipalité locale — en particulier les petites municipalités rurales de moins de 5 000 habitants — deviendrait le cœur
battant de la gouvernance participative.
Des régions comme la Castille-La-Manche, l’Aragon, la Galice ou l’Estrémadure, marquées par la dépopulation et
l’abandon rural, verraient renaître leur rôle stratégique. Grâce à la constitution d’un Groupement National d’Intérêt
Économique sociétal, les municipalités coopéreraient sur les projets agricoles, éducatifs, touristiques et sociaux.
Cette organisation décentralisée permettrait de rebâtir la cohésion territoriale, de rééquilibrer le rapport ville-campagne,
et de replacer l’humain au centre de la décision politique.
Mais cette réinvention n’irait pas sans tensions : conflits de compétences avec les Communautés autonomes,
résistance de l’État central, et inerties bureaucratiques pourraient ralentir cette mue.
Sur les terres desséchées de Murcie, dans les zones vulnérables du sud de l’Aragon, ou dans les vallées arides de
l’Estrémadure, s’implanteraient les Calderas Végétales. Ces oasis artificiels, véritables microclimats circulaires,
réintroduiraient la biodiversité, la fraîcheur et la fertilité.
Dans ces zones autrefois délaissées, l’agriculture prendrait un virage résolument écologique, sobre en eau, et
respectueuse des sols. L’Espagne, menacée par le stress hydrique et l’agriculture intensive, se donnerait ici les moyens
d’une souveraineté alimentaire durable.
Autour des Calderas s’élèveraient des infrastructures “LE PAPILLON SOURCE”, mêlant éducation, spiritualité, tourisme
scientifique et autonomie locale. Ces lieux hybrides attireraient chercheurs, agriculteurs innovants, curieux et bénévoles
du monde entier.
Cette reconquête territoriale renforcerait l’autosuffisance, l’emploi rural et la gestion responsable des ressources
naturelles.
Cependant, la dépendance actuelle à la Politique Agricole Commune (PAC), ainsi que les intérêts puissants des
coopératives agricoles industrielles, risqueraient d’entraver cette transition.
Le programme EL4DEV fait de l’Espagne le terrain européen d’un Second Mouvement de Renaissance, à la fois
intellectuel, éthique et spirituel. Là où l’Espagne a autrefois brillé par ses universités médiévales, ses penseurs et ses
échanges intercontinentaux, elle pourrait à nouveau devenir un carrefour d’idées et de sens.
Des cités éducatives rurales verraient le jour, accueillant chercheurs, pédagogues, artistes et penseurs de toutes
origines. Ces lieux, connectés à l’Afrique, à l’Amérique latine, mais aussi à l’Asie, permettraient d’expérimenter de
nouvelles formes de transmission, d’éthique appliquée, de citoyenneté consciente.
Loin d’un retour en arrière, cette renaissance serait laïque et humaniste, mais enracinée dans les cultures
méditerranéennes, les savoirs populaires et les spiritualités vivantes.
L’Espagne, autrefois empire, deviendrait refuge et tremplin pour un avenir post-national, ancré dans la diversité.
Le cœur économique du programme EL4DEV en Espagne se situe dans la coopération territoriale et la solidarité de
proximité.
Les municipalités rurales, ensemble, investiraient dans des infrastructures rentables et durables : hébergements
écologiques, restaurants participatifs, écoles alternatives, centres de formation transdisciplinaires. Cette économie
s’appuierait sur :
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L’écotourisme intelligent,
L’innovation sociale locale,
Les circuits courts agricoles,
Et une diplomatie culturelle active.
La richesse produite serait redistribuée équitablement, réinjectée dans le tissu local, stimulant l’emploi, l’entrepreneuriat
rural et la fierté communautaire.
Mais plusieurs défis menacent ce modèle : la spéculation foncière dans les zones rurales, la déconnexion des jeunes
générations, et la difficulté à initier les premiers cycles d’investissement.
Sur le plan international, l’Espagne adopterait une position géopolitique inédite, fondée sur la coopération
civilisationnelle et la diplomatie sociétale.
Elle deviendrait l’un des moteurs de l’Union Sociétale Méditerranéenne, un espace transfrontalier de dialogue culturel,
écologique et intellectuel. En s’alliant à des pays comme le Maroc, la Tunisie, la France, le Portugal ou l’Italie, elle
contribuerait à bâtir un axe Sud éthique, moins dominé par les logiques technocratiques de Bruxelles.
Cette diplomatie offrirait une alternative aux conflits géoéconomiques classiques, misant sur la culture, l’éducation et
l’environnement comme leviers de paix.
Mais une telle orientation pourrait créer des frictions avec les institutions européennes, surtout si elle remet en question
les cadres néolibéraux, la centralisation technocratique ou les normes imposées par le marché unique.
Si l’Espagne embrassait pleinement le programme EL4DEV, elle ne deviendrait pas simplement un “cas à part”. Elle
serait la première nation d’Europe occidentale à s’engager sur le chemin d’un renouveau civilisationnel, mêlant :
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Ruralité réenchantée,
Écologie pragmatique et poétique,
Spiritualité laïque et science sociale,
Et coopération internationale par l’humain et la terre.
Elle proposerait un modèle inspirant pour le Sud global, en particulier l’Afrique du Nord et l’Amérique latine, avec
lesquelles elle partage une histoire complexe, mais aussi un imaginaire profond.
Mais cette ambition exige :
•
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Une alliance nouvelle entre les municipalités rurales, la jeunesse, et les innovateurs libres,
Une rupture assumée avec les logiques de rentabilité rapide, d’exploitation territoriale et d’aliénation culturelle.
L’Espagne pourrait alors redevenir, non pas un empire, mais une lumière douce sur les routes méditerranéennes du
futur.
Chapitre 6 – Le Portugal : L’éveil discret d’un phare civilisationnel atlantique
Dans le concert des nations méditerranéennes, le Portugal se distingue par sa taille humaine, son héritage culturel
riche, ses territoires ruraux oubliés et son ouverture naturelle vers les mondes atlantiques. Ce pays, longtemps tourné
vers la mer, se trouve aujourd’hui à la croisée des chemins. Et si, au lieu de se fondre dans les modèles dominants, il
décidait de tracer une autre voie — plus éthique, plus poétique, plus résiliente ?
Le programme EL4DEV, porté par Paul Elvere DELSART, pourrait trouver au Portugal un terreau fertile pour faire
germer une transition politique, économique, écologique et civilisationnelle. Un laboratoire à ciel ouvert pour l’Europe du
Sud, connecté à l’Afrique lusophone et à l’Amérique latine.
Le Portugal est un pays de villages. Des centaines de petites municipalités parsèment le Nord montagneux, les
plateaux du Centre et les plaines de l’Alentejo. Beaucoup sont marquées par la pauvreté, l’isolement, le vieillissement
démographique, et parfois par un certain oubli administratif.
Le programme EL4DEV proposerait un nouveau contrat social rural : les municipalités se regrouperaient au sein d’un
Groupement National d’Intérêt Économique sociétal. Ensemble, elles deviendraient co-initiatrices et copropriétaires de
projets structurants dans les domaines du tourisme éducatif, de l’agroécologie, de l’habitat éthique et de la culture.
Cette mutualisation d’efforts et de moyens redonnerait une voix politique forte aux campagnes, attirerait des familles,
des jeunes entrepreneurs et des porteurs de projets, et favoriserait une renaissance progressive du territoire.
Toutefois, l’initiative se heurterait aux résistances naturelles de l’administration portugaise, connue pour sa lourdeur, et
au scepticisme d’élus locaux peu habitués aux approches transversales ou perçues comme “utopiques”.
Dans les régions sèches de l’Alentejo, où la monoculture intensive a appauvri les sols, ou dans les vallées humides du
Nord intérieur, les Calderas Végétales du programme EL4DEV offriraient une réponse concrète à la crise climatique et
à l’érosion environnementale.
Ces infrastructures hybrides — à la fois écosystèmes restaurateurs, centres pédagogiques et pôles touristiques
innovants — permettraient :
•
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De régénérer les sols et les nappes phréatiques,
De ralentir la désertification rampante,
Et d’encourager une agriculture résiliente, sobre, enracinée dans les savoirs paysans.
Le Portugal, souvent vu comme périphérique en Europe, pourrait devenir un leader discret mais influent de la transition
agroécologique du Sud européen.
Néanmoins, cette dynamique risquerait de rencontrer l’opposition des intérêts agricoles industriels, encore puissants, et
souffrirait d’un retour sur investissement lent — peu compatible avec les logiques actuelles de subventions.
Le Portugal porte une âme ancienne. Dans ses azulejos, son fado, ses récits maritimes et ses poésies mystiques, se
cache une cosmologie populaire et métaphysique qui ne demande qu’à refleurir.
Les centres LE PAPILLON SOURCE, imaginés par le programme EL4DEV, offriraient une scène à cette résurgence.
On y développerait une éducation alternative, interdisciplinaire et coopérative, inspirée à la fois des traditions locales et
des pédagogies innovantes.
Loin des cursus rigides, ces lieux valoriseraient :
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L’apprentissage par l’expérience,
La transmission intergénérationnelle,
Et une spiritualité laïque, enracinée dans la nature et l’histoire.
Le patrimoine culturel portugais serait remis au centre, non comme objet de musée, mais comme vecteur vivant de
diplomatie culturelle, de création contemporaine et de dialogue intercivilisationnel.
C’est un Portugal réconcilié avec lui-même, apaisé et audacieux, qui pourrait ainsi se dessiner.
Le modèle économique proposé par le programme EL4DEV ne mise pas sur la croissance quantitative, mais sur la
richesse des liens, des savoir-faire et de la coopération locale.
Dans cette vision, les municipalités rurales portugaises deviendraient les actrices d’un tourisme de sens, basé sur :
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L’écologie expérientielle,
Le bien-être collectif,
Et l’artisanat communautaire et artistique.
Grâce à un modèle de propriété partagée, les revenus issus de ces activités seraient équitablement redistribués,
renforçant l’indépendance économique locale.
Le Portugal pourrait ainsi devenir une destination privilégiée pour les nomades éthiques, les artistes en résidence, les
chercheurs indépendants et les coopérateurs européens.
Mais des freins subsistent : la dépendance historique aux fonds européens, l’invasion des capitaux étrangers dans
l’immobilier, et l’absence de vision économique de long terme au niveau national.
Dans l’architecture géopolitique du programme EL4DEV, le Portugal n’est ni périphérique ni mineur. Il deviendrait au
contraire un nœud de médiation et de rayonnement.
En tant que pont naturel entre l’Europe, l’Afrique lusophone (Angola, Mozambique, Cap-Vert) et l’Amérique du Sud
(notamment le Brésil), il porterait une diplomatie sociétale centrée sur :
•
•
•
La coopération culturelle,
L’écologie régénérative,
Et le dialogue spirituel postcolonial.
Intégré à la future Union Sociétale Méditerranéenne, le Portugal pourrait faire entendre une voix humaniste, bâtie sur la
confiance, la réciprocité et la sobriété.
Ce serait une forme de soft power nouveau, fondé non sur l’influence économique ou militaire, mais sur l’éthique, la
beauté et la sagesse collective.
Si le Portugal embrassait la voie proposée par le programme EL4DEV, il ne deviendrait pas une exception isolée, mais
un précédent inspirant. Il réactiverait ses territoires, redéfinirait son identité, et bâtirait un avenir inclusif, sobre, ancré et
universellement partageable.
Ce projet civilisationnel offrirait au pays :
•
•
•
Une renaissance rurale fondée sur la coopération,
Une visibilité internationale fondée sur l’écologie et la culture,
Et une nouvelle narration nationale, harmonisant tradition et innovation.
Mais cette transformation exigerait :
•
•
•
Une mobilisation sincère des élus locaux et des jeunes générations rurales,
Un rééquilibrage des priorités économiques nationales,
Et une rupture courageuse avec le modèle touristique extractif et le libéralisme passif de l’Union européenne.
Alors seulement, le Portugal pourrait devenir ce qu’il a toujours pressenti : un petit pays à la grande âme, guide discret
d’un monde en réinvention.
Chapitre 7 – L’Italie : Le berceau d’une nouvelle Renaissance sociétale
Au cœur de la Méditerranée, entre montagnes, volcans et mers, l’Italie déploie un paysage humain et naturel d’une
richesse inouïe. Son tissu de petites municipalités, son héritage artistique et philosophique, sa diversité géographique et
son histoire de fragmentation politique en font une candidate paradoxale mais puissante pour expérimenter un
changement de cap civilisationnel. Si l’Italie adoptait la voie proposée par Paul Elvere DELSART à travers le
programme EL4DEV, elle pourrait non seulement transformer sa propre structure intérieure, mais aussi repositionner
son rôle dans le monde, en assumant un leadership moral et culturel enraciné dans son passé et projeté vers l’avenir.
La première transformation, profondément politique, toucherait la structure communale du pays. L’Italie compte plus de
7 900 municipalités, dont une grande majorité abrite moins de 5 000 habitants. Ces petites municipalités, souvent
situées dans les Apennins, le sud péninsulaire ou insulaire – en Calabre, en Basilicate, en Sardaigne ou en Sicile –
vivent aujourd’hui à l’ombre d’un déclin démographique progressif. Avec le programme EL4DEV, elles deviendraient les
pivots d’un Groupement National d’Intérêt Économique sociétal, capable de concevoir et de gérer des projets collectifs,
coopératifs, éthiques. Une telle architecture permettrait de lutter efficacement contre l’exode rural, le chômage
chronique des jeunes, et l’hypercentralisation urbaine. Cependant, une telle transformation se heurterait inévitablement
à l’enchevêtrement institutionnel du pays, à une bureaucratie réputée pour sa lenteur, et à une méfiance historique
entre les territoires du Nord et ceux du Sud.
Le second axe de transformation concernerait l’écologie territoriale et la revitalisation rurale. Les Calderas Végétales,
ces systèmes hybrides de régénération des écosystèmes et de relance socio-économique, trouveraient en Italie un
terrain d’expérimentation idéal. Dans les zones arides ou marginalisées, comme certaines parties de la Sicile, des
Pouilles ou de la Sardaigne, elles agiraient comme des remparts contre la désertification, la perte de biodiversité et la
sécheresse grandissante. En parallèle, le programme encouragerait une transition douce mais ferme vers une
agroécologie intelligente, ancrée dans les traditions agricoles locales et valorisant les productions de niche. Le
Mezzogiorno, longtemps perçu comme un problème géographique et économique, pourrait devenir un modèle
méditerranéen de résilience climatique. Toutefois, la résistance des intérêts agro-industriels, parfois liés à des réseaux
mafieux, représenterait un défi de taille dans certaines régions.
L’Italie ne serait pas seulement transformée dans ses structures ou ses campagnes, mais aussi dans sa manière de
penser, d’enseigner, de transmettre. Héritière directe de la Renaissance, berceau de l’humanisme européen, elle
pourrait, sous l’impulsion du programme EL4DEV, redevenir un foyer intellectuel de premier plan. Paul Elvere
DELSART parle d’un “Second Mouvement de Renaissance”, et c’est en Italie, terre des Médicis et de Léonard de Vinci,
que ce mouvement pourrait prendre forme avec le plus de force symbolique. Dans les villages historiques en déclin,
seraient créées des cités éducatives rurales mêlant arts, philosophie, écologie, et pratiques coopératives. Ces lieux
d’émulation intergénérationnelle réactiveraient les centres médiévaux et baroques comme espaces vivants de savoir,
de création et de contemplation. Le génie italien, longtemps refoulé par l’uniformisation économique et touristique,
pourrait s’y redéployer dans une forme nouvelle.
La transformation économique, quant à elle, suivrait une voie originale. Plutôt que de miser sur l’industrialisation ou le
tourisme de masse, le modèle proposerait un développement basé sur l’économie circulaire, les savoirs artisanaux, et
des services éducatifs tournés vers la coopération et la recherche de sens. Des parcs à thème éducatifs ou des centres
de tourisme scientifique et spirituel pourraient émerger dans des régions peu fréquentées, loin des circuits touristiques
saturés. Ce mouvement générerait des emplois durables, souvent non délocalisables, et offrirait aux petites
municipalités de nouvelles sources de revenus sans compromettre leur intégrité culturelle. Toutefois, l’inertie du modèle
économique dominant, la dépendance persistante aux subventions européennes et la force d’attraction du tourisme
classique pourraient freiner cette mutation.
Enfin, sur le plan géopolitique, l’Italie pourrait retrouver un rôle central au sein du bassin méditerranéen. Membre
fondateur de la future Union Sociétale Méditerranéenne aux côtés du Portugal, de l’Espagne, du Maroc et de la Grèce,
elle aurait l’opportunité d’assumer un leadership inédit : celui de la diplomatie sociétale. En mobilisant son capital
culturel, intellectuel et spirituel, elle renforcerait son soft power et restaurerait une influence internationale qu’elle
semble avoir perdue depuis plusieurs décennies. Cette posture de médiation, fondée sur l’écoute, la coopération et la
beauté du dialogue, placerait l’Italie au cœur d’un nouvel équilibre méditerranéen, entre l’Europe, l’Afrique du Nord et le
Levant. Ce rôle, cependant, pourrait provoquer des tensions avec certaines institutions européennes, notamment si le
modèle EL4DEV venait à contredire frontalement les fondements économiques et politiques de l’Union.
En conclusion, l’Italie possède tous les atouts pour devenir un laboratoire vivant du programme EL4DEV. Son
patrimoine multiséculaire, ses territoires en crise, ses talents dispersés, sa richesse humaine encore vibrante font d’elle
un espace potentiel de renaissance intégrale. En assumant une telle transition, elle pourrait revitaliser ses villages
oubliés, redonner un sens profond à son art de vivre, et redevenir un phare culturel dans l’espace euro-méditerranéen.
Mais cette réussite exigerait une volonté politique audacieuse, enracinée dans les réalités locales. Elle demanderait une
mobilisation citoyenne transversale, capable d’unir jeunes, chercheurs, agriculteurs, artisans et artistes autour d’une
vision commune. Et surtout, elle impliquerait un acte de foi collectif : le choix de sortir du paradigme productiviste, pour
embrasser une conception holistique du progrès, où l’économie sert la vie, et non l’inverse.
Chapitre 8 – La Grèce : Le retour au souffle des origines
Face à la mer Égée, au cœur d’un monde en mutation, la Grèce se tient telle une mémoire vive. Elle porte en elle les
racines d’une pensée universelle, d’un art de vivre tourné vers l’équilibre, la beauté, la mesure. Pourtant, ce pays,
autrefois maître des cités philosophes, a été durement frappé par les crises économiques, la désertification de ses
campagnes et le dépeuplement de ses îles. Aujourd’hui, c’est peut-être justement en raison de cette fragilité que la
Grèce apparaît comme un terrain fertile pour une refondation systémique à travers le programme EL4DEV porté par
Paul Elvere DELSART. Adopter cette voie signifierait pour elle renouer avec ses sources les plus profondes tout en
traçant un chemin radicalement neuf.
L’un des piliers de cette transformation serait la réorganisation du territoire à travers une gouvernance participative
insulaire. Les Cyclades, le Dodécanèse, les îles de l’Égée du Nord abritent une mosaïque de petites municipalités
isolées, souvent en déclin démographique et économique. Grâce au modèle EL4DEV, ces collectivités pourraient se
regrouper au sein d’un Groupement national d’Intérêt Économique sociétal, mutualisant leurs ressources et leurs
visions pour initier des projets communs. Infrastructures écotouristiques, initiatives agricoles innovantes, centres
éducatifs collaboratifs : les îles se réinventeraient dans une logique de coopération inter-insulaire. L’autonomie
financière, la relance territoriale et la cohésion sociale s’en trouveraient renforcées. Cependant, la centralisation
persistante de l’administration grecque et le manque d’habitude en matière de gouvernance collaborative
constitueraient des obstacles à surmonter.
Au-delà de la dimension organisationnelle, la Grèce pourrait devenir un terrain pionnier de la régénération
environnementale et agroclimatique. Les cicatrices des incendies survenus en Péloponnèse ou en Eubée, tout comme
la sécheresse croissante en Crète, montrent l’urgence d’une réponse écologique à la hauteur des défis. L’installation
des Calderas Végétales dans ces régions permettrait de restaurer les écosystèmes, d’enrichir les sols, de favoriser
l’humidité et la biodiversité. La transition vers une agriculture diversifiée, locale, autosuffisante et décarbonée prendrait
ici un sens vital. En devenant un véritable laboratoire méditerranéen de résilience écologique, la Grèce ne ferait pas
qu’affronter ses propres fragilités : elle proposerait au monde un modèle. Pourtant, les intérêts agro-industriels et les
promoteurs du tourisme traditionnel pourraient freiner cette mutation, notamment en raison du manque de financements
et des résistances culturelles.
Mais c’est peut-être sur le plan culturel et philosophique que l’impact du programme EL4DEV trouverait en Grèce sa
plus vibrante expression. Terre de Platon et d’Épicure, d’Héraclite et d’Aristote, la Grèce pourrait accueillir les premiers
“commandements philosophiques” de l’Empire Vert d’Orient et d’Occident. Des cercles de sages y seraient fondés, des
rois-philosophes y seraient formés, et des lieux d’apprentissage éthique et spirituel y verraient le jour. Dans les
infrastructures LE PAPILLON SOURCE, les idéaux platoniciens seraient actualisés dans un cadre moderne, inclusif et
profondément participatif. La Grèce deviendrait non seulement un espace d’expérimentation, mais un symbole : le lieu
d’un retour à l’harmonie entre nature, esprit et communauté. Ce serait un retour à la source, mais par une voie nouvelle,
ouverte et visionnaire.
Dans les territoires ruraux ou les îles peu fréquentées, une redynamisation économique pourrait émerger. Des parcs à
thème éducatifs altermondialistes, ancrés dans la culture locale et dans les grands récits de l’humanité, offriraient des
expériences inédites, très éloignées du tourisme de masse. Une nouvelle économie du tourisme intellectuel, écologique
et initiatique verrait le jour, porteuse de sens et d’emplois durables. Les jeunes, souvent condamnés à l’exil ou au
chômage saisonnier, pourraient trouver dans cette économie de la transition une place créative, porteuse d’avenir :
écoconstruction, animation culturelle, enseignement participatif, permaculture, artisanat. Il faudrait, pour cela, sortir de
la logique d’une économie extractive et saisonnière qui appauvrit les territoires tout en les épuisant humainement.
Enfin, sur le plan géopolitique, la Grèce pourrait redevenir un phare. En tant que membre fondateur de l’Union Sociétale
Méditerranéenne, aux côtés de l’Italie, du Portugal, de l’Espagne et du Maroc, elle proposerait une diplomatie nouvelle,
ancrée dans la sagesse, la coopération décentralisée, le respect des peuples et de la nature. Ce soft power fondé sur
l’intellect et la paix serait une réponse aux impasses des alliances rigides et des modèles économiques dominants.
Pourtant, l’histoire récente a laissé des traces. La méfiance vis-à-vis des projets transnationaux reste forte depuis la
crise de la dette et la tutelle imposée par les institutions européennes. Repenser la coopération à travers un projet
comme EL4DEV impliquerait un acte de foi politique et un changement de récit profond.
Si la Grèce s’engageait dans cette voie, elle pourrait réactiver son identité civilisationnelle, celle d’un peuple façonné
par la mer, la pensée, la solidarité et la beauté. Elle redonnerait vie à ses municipalités rurales, à ses îles délaissées, en
leur offrant non seulement des moyens, mais un dessein. Elle deviendrait alors un symbole puissant d’une renaissance
méditerranéenne, à contre-courant de la mondialisation financiarisée.
Mais cette métamorphose ne pourrait s’accomplir sans conditions. Elle nécessiterait une rupture narrative décisive avec
la résignation post-crise, le réveil d’une jeunesse éclairée, l’engagement des intellectuels, des insulaires, des
agriculteurs, de tous ceux qui refusent de voir leur pays réduit à une carte postale ou à un champ d’expérimentation
néolibéral. Elle exigerait enfin une collaboration audacieuse entre l’État et les territoires, libérée des logiques
clientélistes, capable de porter un projet qui allie grandeur morale et transformation concrète.
Chapitre 9 – La France : Le retour aux sources d’une nation en mutation
Dans le concert des nations européennes, la France occupe une position singulière. Héritière des Lumières, marquée
par une tradition républicaine forte, elle incarne autant l’esprit critique que l’ingénierie sociale. Pourtant, derrière cette
image de pays centralisateur et éclairé, se cache une complexité institutionnelle lourde, un tissu rural en déclin et une
centralisation administrative qui freine toute tentative d’expérimentation à grande échelle. Et pourtant, si la France,
patrie de Paul Elvere DELSART, décidait de s’engager pleinement dans la voie politique et civilisationnelle du
programme EL4DEV, elle pourrait devenir le laboratoire d’un renouveau global, à la fois local, spirituel et politique.
Tout commencerait par une décentralisation profonde du pouvoir. Avec plus de 34 000 municipalités – un record
européen – la France dispose d’un maillage territorial exceptionnel, où la majorité des villages comptent moins de 2 000
habitants. Ce réseau, aujourd’hui considéré par beaucoup comme une lourdeur administrative, pourrait devenir le cœur
battant d’un nouveau modèle sociétal. Dans la vision portée par le programme EL4DEV, ces municipalités se
regrouperaient au sein de Groupements d’Intérêt Économique sociétaux, cofinançant et cogérant des infrastructures à
vocation éducative, écologique et touristique. Le Centre de la France, les terres de l’Occitanie, les plateaux du Massif
central ou les vignobles de Bourgogne retrouveraient une dynamique territoriale oubliée, libérée du sentiment
d’abandon. Mais le défi serait considérable : l’État jacobin, les multiples niveaux de gouvernance imbriqués (commune,
intercommunalité, département, région) et les circuits de décision souvent opaques constituent une véritable forteresse
institutionnelle.
La transition écologique, autre pilier du programme, trouverait également en France un terrain propice. Les Calderas
Végétales, ces écosystèmes artificiels mais vivants, pourraient être implantées dans des régions fragilisées par
l’érosion écologique ou sociale – les Landes, les Pyrénées, la Lorraine ou encore l’Aude. Ces structures, à la fois
agricoles, hydriques et culturelles, contribueraient à restaurer la biodiversité, à humidifier les sols, à encourager la
polyculture et à ralentir la désertification rurale. Loin d’être un retour au passé, il s’agirait d’une synthèse entre haute
technologie verte et spiritualité du vivant. Mais ici encore, le chemin serait semé d’embûches : la confrontation avec les
intérêts de l’agrobusiness, le poids de la FNSEA et la dépendance de nombreux territoires à la PAC et à la monoculture
risqueraient de freiner les initiatives.
Le modèle EL4DEV appelle également à une véritable révolution culturelle et éducative. La France, riche de son
patrimoine intellectuel, serait l’espace idéal pour voir naître une "Seconde Renaissance". Des parcs éducatifs
altermondialistes pourraient émerger dans des territoires à haute valeur symbolique – la Dordogne, la Bretagne, les
Vosges –, accueillant chercheurs, philosophes, artistes, ingénieurs, venus travailler ensemble à une société plus juste,
plus consciente, plus libre. L’école y serait repensée autour de la coopération, de l’écologie, de la philosophie
appliquée. La France, forte de son héritage des Lumières, y retrouverait une vocation perdue : celle d’un phare
intellectuel au service de l’émancipation. Cependant, le système éducatif, centralisé, syndiqué, fortement hiérarchisé,
pourrait s’opposer à l’émergence d’un tel modèle alternatif, surtout à l’échelle nationale.
Sur le plan économique, une nouvelle dynamique pourrait être enclenchée dans les territoires dits "oubliés" : ceux que
l’on ne montre jamais dans les brochures touristiques, mais qui recèlent des trésors de savoir-faire, de paysages,
d’humanité. Le tourisme de demain, dans cette France transformée, ne serait plus un simple loisir de consommation. Il
deviendrait scientifique, éducatif, thérapeutique. Des emplois durables émergeraient dans des secteurs à haute valeur
humaine et écologique : écoconstruction, permaculture, innovation sociale, pédagogie vivante. Ces activités, ancrées,
non délocalisables, permettraient aux jeunes générations de ne plus fuir les campagnes, mais de les réinventer.
Pourtant, la pression immobilière, l’inertie économique et la domination du tourisme de masse pourraient contrecarrer
cette mutation silencieuse.
Enfin, en tant que berceau du programme EL4DEV, la France porterait une responsabilité particulière sur le plan
géopolitique. Elle deviendrait la figure de proue de l’Union Sociétale Méditerranéenne, cette alliance nouvelle fondée
non sur la compétition mais sur la coopération, la complémentarité, l’autosuffisance territoriale. Elle proposerait une
diplomatie nouvelle, non plus alignée sur les paradigmes libéraux ou sécuritaires, mais orientée vers la construction
d’un monde résilient et juste. Ce serait là une manière de redonner corps à une puissance douce française en crise,
non plus fondée sur ses institutions centrales, mais sur l’éveil de ses territoires.
Si la France choisissait de s’engager dans cette voie, elle pourrait non seulement se réconcilier avec ses territoires
ruraux, mais aussi renouer avec sa vocation humaniste, en dépassant les limites d’un État technocratique et centralisé.
Elle retrouverait le souffle dans une forme renouvelée, plus éthique, plus spirituelle, plus proche du vivant.
Mais un tel projet supposerait une rupture narrative forte. Il faudrait renoncer aux logiques néolibérales, au poids d’une
technocratie jacobine sclérosante, pour ouvrir la voie à une société distribuée, imaginative, connectée à ses racines.
Cela impliquerait aussi une mobilisation citoyenne massive : des jeunes, des maires ruraux, des intellectuels
indépendants, des artistes, des cultivateurs. Car ce changement ne viendrait pas d’en haut, mais du cœur des
territoires.
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