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PLATON ET SES CONFRÈRES
UTOPISTES, LES PRÉCURSEURS

"Les lieux beaux et parfaits, les
cités bien gouvernées sont le but
à atteindre pour nos sociétés en
déséquilibre"
"Pour cela il me fallait réussir à canaliser toute
cette

puissance

créative,

intellectuelle,

opérationnelle et financière autour d’un objectif
commun, recherché par tous indépendamment des
environnements

sociaux-économico-culturels

et

des genres ou générations. Il me fallait un cap
envisageable par tous. J’ai alors recherché un
dénominateur commun.
C’est dans la littérature et l’histoire que je l’ai
trouvé. Toutes les civilisations ont dans l’histoire
toujours recherché la perfection dans la confection
de cités parfaites, lumineuses, refuges, bien
gouvernées, modèles… La littérature du genre
utopique le décrit très bien. Ces cités ont un fort
pouvoir de rayonnement. Elles marquent les esprits
car

elles

touchent

l’imaginaire.

Elles

sont

également des projets de société, des projets
politiques. Platon en faisait allusion dans son récit
culte : « La cité ».
Le concept du Papillon Source était né : des lieux
d’expérimentation individuelle et collective, de
partage de la connaissance, des pépinières de
projets sociétaux transformateurs, des moteurs
régénérant les environnements dégradés, des lieux
autosuffisants, des vitrines de ce qu’il pourrait être
dans le monde, des vitrines d’un avenir meilleur,

"Chaque individu aurait un rôle important à jouer,
chacun pourrait exceller dans son domaine de
prédilection, chacun apprendrait des autres tout
au

long

du

processus

de

conception

et

de

réalisation."

des écoles d’un nouveau genre… sur les cinq
continents,
construits

interconnectés,
par

la

imaginés,

communauté

conçu,

internationale,

depuis chaque pays du monde entier, dans toutes
les langues."

"Un tel mécanisme se révèlera être
inarrêtable une fois enclenché car il
donnera

au

monde

entier

une

perspective pour agir et changer la
donne."